cercle de silence - Metz -

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Hortefeux - une trahison française - Libération 26/05

un cynisme sans limites....

(extrait nouvelobs.com)- voir le blog -
Anis, un tunisien de 21 ans en situation irrégulière, vient d'obtenir un titre de séjour après avoir sauvé la vie à une dame de 96 ans, prisonnière des flammes dans son appartement de Villejuif.
Un Tunisien sans papiers de 21 ans, qui a permis de sauver en avril une dame de 96 ans, et qui faisait l'objet d'une obligation de quitter le territoire français, a obtenu lundi matin 19 mai un titre de séjour, a-t-on appris auprès de Réseau éducation sans frontières (RESF).
Le jeune homme, prénommé Anis et habitant l'Essonne, a obtenu un récépissé de titre de séjour pour une durée de trois mois, a indiqué Nadia N'Guyen, membre de RESF. Il attend maintenant un rendez-vous pour une visite médicale indispensable pour réclamer une autorisation de séjour pour un an.
"Je me sens comme un oiseau qui sort de sa cage", a-t-il indiqué. "Maintenant, je vais pouvoir vivre comme tous les jeunes de mon âge et me concentrer sur mes études", a-t-il précisé.

interview - Eric Florindi - RESF Metz - FR3 Lorraine - 13/05 -

RESF - Besancenot - Drucker - 12/05 -

RESF intervient par surprise dans l'émission Répliques de Finkielkraut -10/05-

rectificatif - manifestation Thionville - 16 MAI

Cercle de silence 21/05 -METZ-

manifestation Thionville 14 Mai

Libération - 6/05 - rapport de la ligue des droits de l'homme -"une démocratie asphyxiée" -

Benassayag: RESF marque une nouvelle forme d'engagement

Miguel Benassayag I	Miguel benassayag II
Miguel Benassayag III	Miguel Benassayag voit dans RESF une vraie nouveauté dans le domaine de l'engagement. Pour lui, une des spécificités du mouvement réside dans ce que, contrairement à l'engagement politique ou syndical, il ne s'agit pas ici de s'accorder sur un socle idéologique.

Thuram - jdd - 4/05 -

extraits :

L'athlète Eunice Barber estime que notre pays n'a pas à donner de leçons aux Chinois en matière humanitaire.
Il faut d'abord regarder chez soi. Et avec beaucoup d'intransigeance. En France, certains propos racistes sont dénoncés, mais pas avec la vigueur nécessaire. A commencer par celui du président de la République: son discours de Dakar (sur la colonisation) était d'une gravité extrême. Il y a eu aussi Pascal Sevran, Alain Finkielkraut, Georges Frêche... Et puis n'oublions pas qu'on est dans un pays où on fait la chasse aux sans-papiers, avec un tableau accroché dans les préfectures. Et que des gens sont morts pour ça.

Dans le livre Noirs en Bleu, vous annoncez vouloir vous consacrer à l'éducation après votre carrière...
La dénonciation des choses ne suffit pas. Nous sommes construits de préjugés. En Espagne, j'ai créé la "Fondation Lilian Thuram, Education contre le racisme". Je vais dans les écoles. Quand je demande aux enfants combien il y a de races, ils me répondent souvent quatre. En substance: "Les Noirs courent vite et chantent bien, les Jaunes sont bons en mathématiques, les Rouges pas grand-chose à en dire et les Blancs ont toutes les qualités réunies..." Il faut réfléchir à ces réflexions naïves. Et tenter d'apporter d'autres modèles. Quand je demande aux gens ce qu'ils savent de l'histoire des Noirs, ils commencent par me dire qu'ils ont été esclaves. Les rapports entre Noirs et Blancs sont déformés, des deux côtés d'ailleurs, par le prisme de l'esclavage. C'est une méconnaissance historique, car l'esclavage n'était qu'un système économique. Pas un modèle de relations.

expulsion en Tchéchénie - FR3 Lorraine - 03/05